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yqdesaintpern@gmail.com
www.laboxproject.com www.orchestrevide.fr
Une édition documents d’artistes La Réunion,
portée par Cheminement(s) avec le soutien de la Région Réunion.
Le travail de Yohann Quëland de Saint-Pern interroge l’objet, le corps et le discours comme l’espace public, et les rapports de pouvoirs inscrits en leurs formes. Constructions ordonnancées et compositions normées relèvent d’autant d’archétypes envisagés comme des vecteurs de vitesse économique, de production ou de reproduction, de circulation des peuples et des biens et d’injonction à l’adaptation, agissant sur l’imaginaire. Énoncés, archives, images ou objets protocolaires circulent d’une œuvre à l’autre dans des productions chaque fois « augmentables », et font écho aux histoires et réalités politiques, économiques et sociales des territoires en proie au post ou néocolonialisme. Les œuvres qui découlent des recherches de l’artiste « mettent en exergue des forces en présence » et font ainsi basculer les charges invisibles qu’elles contiennent.
Pour Yohann Quëland de Saint-Pern, créer revient alors à « fabriquer des outils en mesure d’ouvrir des perspectives et façonner son territoire comme champ de nouveaux possibles ».
Leïla Quillacq, extrait de texte et entretien avec l’artiste, pour documents d’artistes La Réunion, 2020.
Ouvrir des brèches, fabriquer des outils en mesure d’ouvrir des perspectives ( … )
Les œuvres peuvent être ces outils. Le travail de Yohann Quëland de Saint-Pern interroge l’espace public : comment l’habitons-nous, de quelle manière y intervenons-nous, qu’est-ce qui y circule, mais également comment nos corps – intimes ou collectifs – s’y contraignent ou s’en échappent ? Points de vue ou de fuites, rapports d’échelles, construction ordonnancées et compositions normées, l’artiste décèle dans l’ossature même des espaces qu’il traverse les rapports de pouvoirs inscrits en leurs formes.
Standards et archétypes y sont envisagés comme autant de vecteurs de vitesse économique, de production ou de reproduction, de circulation des peuples et des biens et d’injonction aux stratégies d’adaptation, agissant sur l’imaginaire. Au départ d’énoncés, d’images ou d’objets protocolaires, et par le biais de maquettes, dessins ou plans modélisés et autres prototypes, ses productions font écho aux histoires et réalités politiques, économiques et sociales des territoires en proie au post ou néocolonialisme, que l’artiste arpente lors de temps de résidences.
Barrières, clôtures ou façades, miradors (Mirador, sculpture – installation, 2014) ou échafaudages (Échafaudage, sculpture – installation, 2018) habitent ainsi le projet De Base mené en collaboration avec l’artiste Tiéri Rivière : autant d’objets urbains prélevés, investigués et transposés dans un contexte historique, géographique, psychique et culturel autre, pour ouvrir au poétique. Les œuvres qui en découlent – interventions urbaines, photographies, sculptures, performances ou installations – font alors un pas de côté, perturbant la fonction première des structures répertoriées. Les charges qu’elles contiennent basculent et les rapports qu’elles renferment se renversent.
Pour l’artiste, il s’agit de « recomposer les histoires souterraines, et – avec des formes – mettre en exergue des forces en présence, les enjeux réels, ceux qu’on ne voit pas. » C’est encore le cas dans une série d’œuvres pointant les fonctionnements et dysfonctionnements structurels ayant trait au métier d’artiste. À l’état de projets, la série d’affiches Mécénat (2013) nous parle ainsi de l’économie et du corps social de l’artiste, dénonçant les systèmes de légitimation publics et privés et s’appropriant les langages marketing et logiques entrepreneuriales du commerce et de la vente via des campagnes détournées en 4 par 3. Voitures Sonos, autre projet performatif (2014), utilise quant à lui les outils folkloriques de campagnes électorales réunionnaises pour pointer les systèmes de mise en concurrence des artistes par les institutions.
Les principes de territorialisation et d’organisation sociale, abordés comme formes abstraites aux propriétés concrètes et signifiantes, sont ainsi démantelés. À l’instar de Élans, (sculpture – installation, 2013) traitant du groupe comme labyrinthe social, ou de War Zone Wits (installation performative, 2018) faisant référence à une manifestation estudiantine à l’Université de Johannesburg (dans laquelle l’artiste enseigna en 2016) luttant contre les forces de l’ordre pour un libre accès à la connaissance et au savoir – bannières du pouvoir – dans un contexte post-apartheid.
D’autres objets chorégraphiques animent une série d’œuvres traitant des manières de contrarier un espace, d’en modifier les flux de circulation ou de trouver des stratégies d’autosuffisance énergétique par le biais de systèmes D. Ces œuvres-là nous parlent aussi de tropisme, de traversées, de paysages arpentés d’Ombre (installation vidéo, 2009) ou de Désert (vidéo, 2004), et de ce qui advient, dans le passage et le mouvement, de ces changements d’état.
Le langage, la construction du discours et de la pensée sont enfin les matières-sources d’œuvres produites au sein d’un autre laboratoire de recherche et de production intitulé Paroles, Paroles (« karaoké, sciences molles, gais savoirs et discussions ») mené en collaboration avec l’artiste Myriam Omar Awadi. Ils interrogent ici les façons de performer un document, ou
« comment repenser et ré-inventer les espaces qui organisent la parole et qui la conditionnent ? ».
Des dispositifs de karaokés-conférences (Orchestre vide, installation performative, 2017) ou de banquets-séminaires (Waterworld, installation performative, 2017) puisent dans des textes et entretiens de penseurs et penseuses phares (L’Acte de création de Gilles Deleuze, Résistances d’Édouard Glissant, ou encore Le Ventre des femmes de Françoise Vergès, pour ne citer qu’eux) et mélangent les codes de références pour venir brouiller les grilles de lecture et redistribuer les cartes – entre ethnocentrisme et « créolisation », entre spectacle, science savante et contre-culture.
Citations et archives circulent ainsi d’une pièce à l’autre, dans des productions chaque fois « augmentables », déclinables et réadaptables. Car l’esthétisme importe peu pour Yohann Quëland de Saint-Pern, qui use majoritairement de matériaux pauvres, fragiles ou bricolés, impliquant une économie de moyens et de techniques, « pour ne pas y perdre le sens ».
Des œuvres à appréhender comme autant de perspectives utopiques d’un modèle social renversé. Et l’artiste d’ajouter que, par la création, « il s’agit d’ouvrir des brèches, fabriquer des outils en mesure d’ouvrir des perspectives et façonner son territoire comme champ de nouveaux possibles. Les œuvres peuvent être ces outils, ou simplement des supports de questionnements. »
Leïla Quillacq, 2020.
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Installation, projection vidéo, dimensions et matériaux variables.
4ème Biennale internationale de Casablanca – Maroc, Collection de centre d’art Essaouira, Ifitry. Création en résidence à la Cité Internationale des Arts de Paris.
« Cette scène se passe à l’université de la WITS à Johannesburg. Une manifestation d’étudiants défendant le montant de leurs inscriptions d’accès aux études, les opposent à la police. Les faits sont d’une rare violence, et embrasent les universités du pays en moins d’une semaine. Le conflit dura un mois environ et n’est pas clos. (…) Elle ne tire pas sur les corps, mais à travers eux. »
Yohann Quëland de Saint-Pern
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Instalation performative, fauteuils, karaoké vidéo. Vidéo HD, réalisée par M. Omar Awadi et Y. Quëland de St-Pern. Durée, dimensions et matériaux variables.
Vue de l’exposition collective Sous le soleil exactement, 2017, Cité des arts de la Réunion, commissariat Nathalie Gonthier. Également exposée / performée à la FIAC Hors les Murs, La Colonie (2017), et à la Biennale de la photographie, Bamako (2019) Collection Musée National du Mali.
« カラオケ KARAOKE
Du diminutif japonais kara du mot karappo : vide
Du diminutif japonais oke du mot okesutora : orchestre.
Orchestre vide est un projet collectif qui regroupe une collection de voix, des voix de théoriciens, de savants, d’écrivains, de poètes, de politiciens, de plasticiens, issues de documents d’archives. Nous entrevoyons ce projet comme une sorte de réaction aux récits et fictions qui nous viennent d’ailleurs, qui conditionnent et régissent nos modes de vie. Nous souhaitons, en invoquant ces voix, en réinterprétant ces documents que nous re-fabriquons de toute pièce, questionner ces récits depuis notre territoire, l’île de La Réunion, « confetti de l’empire », et proposer ainsi de nouveaux points de vue. Ces voix-là, nous les avons donc choisies pour les pensées qu’elles incarnent, pour leurs potentiels à faire trembler l’histoire et nos perceptions du monde. Nous les avons choisies pour leurs timbres uniques et leur musicalité que nous considérons comme inhérente à la pensée qu’elles communiquent. Nous choisissons ici l’oralité plutôt que l’écriture, nous souhaitons là écouter la pensée, suivre les méandres d’une voix, ses hésitations, ses fulgurances et puis nous choisissons enfin de nous en emparer, faire résonner nos voix. De multiples discours, pensées et savoirs que nous nous proposons de ré-activer (de performer) comme ça nous chante, comme ça chante en nous, dans un rassemblement joyeux que nous empruntons à cette forme populaire qu’est le karaoké. »
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À droite, Gilles Deleuze / Qu’est-ce que l’acte de création, vidéogramme, réalisé d’après la conférence prononcée le 17 mars 1987 devant les étudiants de la FEMIS, filmée par Arnaud Des Fallières, Armand Dauphin et Philippe Bernard, diffusée par FR3 dans le cadre de l’émission Océanique, le 18 mai 1989, 6 min 7 s.
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Vue d’exposition dans le cadre de la Nuit d’art de Pleine Lune, Musée historique de Villèle, St-Gilles-les-Hauts – La Réunion, production Cheminement(s). Collection du FRAC Réunion. Photographie Pascal Quiquempoix.
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Vue d’exposition, Nuit d’art de Pleine Lune, 2012. Photographies Valérie Abella
Également montrée lors de TOTAL Danse, 2012, au TÉAT Champ fleuri, et pour La Belle Peinture 2, 2013, île Maurice.
« C’est un objet chorégraphique, une installation performative autonome. Un lustre de cristal inscrit un cercle dans une salle du musée en tournant au ras du sol. Il est maintenu par un cordage et alimenté par une ou deux batteries. Un moteur le fait tournoyer, tout en accompagnant son mouvement. Ce lustre a été choisi afin de s’inscrire dans le mobilier d’époque du musée. »
Yohann Quëland de Saint-Pern
« Yohann Quëland de Saint-Pern nous donne à vivre cette année un moment où devant nous se joue une perte, le passage d’un objet du mouvement à l’inertie, la transformation d’un corps animé plein de possibles et d’énergie à l’état d’un corps inanimé. »
Céline Bonniol
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Programme de performance et d’installation vidéo, musique d’ascenseur, et vol en ULM, dimensions variables.
Vue d’exposition dans le cadre de la Nuit d’art de Pleine Lune, Musée historique de Villèle, St-Gilles-les-Hauts – La Réunion.
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Vidéogramme, Désert / Marcher à reculons en m’orientant avec un miroir, 2004-2017, 5 promenades filmées, 130 minutes, HD et SD. Collection de la ville de Saint-Pierre (futur centre d’art), île de La Réunion.
Montrées aux Rencontres internationales Paris/Berlin en 2005 à Paris et dans le cadre de Pulsar Caracas, au Musée Alejandro Otero-Mao de Caracas au Venezuela.
« Œuvre vidéo tournée en cinq promenades à reculons dans quatre espaces désertiques différents en Mauritanie (un désert de sel, une plage, deux autres espaces désertiques à Nouadhibou et Chinguetty, SD, 89 min) et à la Plaine des Sables à La Réunion (HD, 50 min). Avoir dans un même écran « là où je suis passé », et « là où je vais », confronte un passé qui existe au reflet d’un futur toujours fuyant où les horizons ont du mal à s’accorder. Cela donne une image d’un présent inexistant, ou en constante invention de lui-même… »
Yohann Quëland de Saint-Pern
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Vidéogrammes
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Installation vidéo (50 min, HD), panoramique en deux pans, plaques de contreplaqué et projection vidéo, dimensions variables. Collection Artothèque de La Réunion.
Vue d’exposition, Biennale Arts Actuels (ADCNI), 2009, Hangar D2, Le Port – La Réunion.
Également montrée à l’Artothèque de La Réunion en 2009 et à la Biennale de Belleville à Paris en 2015.
« L’événement que je souhaite capter à l’intérieur duquel j’inscris la figure humaine, est le suivant : au lever du soleil, une ombre quitte le rempart, et vient se déposer au sol sur quelques kilomètres. Une silhouette humaine marche sur la lisière entre l’ombre et la lumière. Le chemin de cet homme mouvant, est alors déterminé par autre chose que lui-même. Ce travail est assez brut formellement : durant environ 45 minutes, du plan séquence de la nuit (image noire ) à l’éclairement des parois dans un panoramique fait de deux projections sur un effeuillage de C.P. déposé à la verticale. »
Yohann Quëland de Saint-Pern
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Vue d’exposition, dispositif de projection.
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Détail
YOHANN QUËLAND DE SAINT-PERN
Né en 1980 à La Réunion Vit et travaille à La Réunion
Contact : yqdesaintpern@gmail.com, +(33)6 26 91 37 52 Sites internet :
www.laboxproject.com www.orchestrevide.fr
Yohann Quëland de Saint-Pern cofonde le projet « La BOX – Artist Run Space », avec l’artiste Tiéri Rivière en 2013, au sein de l’association Carambole au Tampon – La Réunion. Le projet curatorial de La Box sera rejoint par les artistes Anne Fontaine et Myriam Omar Awadi, et s’articule autour de deux Laboratoires : De Base et Paroles, Paroles. Yohann Quëland de Saint- Pern réalise plusieurs résidences de territoire et diffuse son travail au sein d’expositions entre la métropole et le Sud économique du pourtour de l’océan Indien (Inde, Afrique du Sud, Maroc, Sénégal, île de La Réunion).
Parallèlement, il enseigne à l’École supérieure d’art de La Réunion depuis 2013.
Expositions Individuelles
2020
. Pièces chorégraphiques, Cité des Arts, La Réunion, commissariat Nathalie Gonthier
2015
. BUSTER 3020_5, Teat de Champs Fleuri, Saint Denis de La Réunion, co-commissariat Thierry Rivière
2012
. ÉLAN, TÉAT Champ Fleuri, Saint-Denis – La Réunion
2011
. Coudre l’espace blanc et FRONTIÈRE, Centre Pompidou de Metz
. ARTISTE EN GRÈVE, The Window, Paris, commissariat Catherine Baÿ en partenariat avec le FRAC Réunion
. PPP ou petite Pensée sur la Poésie-Politique, Nihao Art Gallery, Xiamen – Chine
2010
. Bullit #1 : La course poursuite, installation visuelle et sonore, galerie Art et Essai de l’Université du Tampon – La Réunion.
2007
. De passage à Paris VIII, galerie de l’Université de Paris VIII, commissariat Marion Laval-Jeantet
Expositions Collectives
2019
. Images mouvements, Images de révoltes, la Box, Le Tampon – La Réunion, commissariat Yohann Quëland de Saint-Pern
2018
. Étrange Noël, La petite fabrique d’art, commissariat Valérie Boccanfuso
. La BOX, La Cité des Arts, Saint Denis – La Réunion
. Open Studio, Cité International des Arts, Paris
. MAI 68, 50 ans ça suffit?, La petite fabrique d’art, Paris, commissariat Jakob Gautel
. Rikiki Micro-Maxi, Galerie Satelitte, Paris, commissariat Joel Hubaut
. Nuits Blanches, The Window, Paris, commissariat Catherine Baÿ
2017
. Sous le soleil exactement, La Cité des Arts, Saint Denis – La Réunion, commissariat Nathalie Gonthier
2016
. Aux aguets, La petite fabrique d’art, Paris, commissariat Jason Karaïndros
. L’envers de l’île, Fiction(s), La Cité des Arts, Saint Denis – La Réunion, commissariat Nathalie Gonthier
. Was Bergen les nuages, le laboratoire d’art ArToll, Allemagne, commissariat Béatrice Duport
2015
. L’envers de l’île, Musée Léon Dierx, Saint -Denis – La Réunion, commissariat Nathalie Gonthier
. BESTIAIRE[S], la Box, Le Tampon – La Réunion, commissariat Yohann Quëland de Saint-Pern
. Image[s] fragile[s], la Box, Le Tampon – La Réunion, commissariat Yohann Quëland de Saint-Pern
. Hors-Pages (fragments), galerie de l’ESA Réunion, commissariat Nathalie Gonthier
. Tower Babel, Goethe on Main, Johannesburg – Afrique du Sud, commissariat Georges Pfurender
2014
. Nuit d’art de pleine Lune, Musée de Villèle, La Réunion, commissariat Céline Bonniol
. PIXELING Project, IESA, Paris
2013
. La Belle Peinture 2, île Maurice, en partenariat avec le FRAC Réunion et l’Institut Français
. FUNDBÜRO DatAData, École nationale supérieure des Beaux-Arts de Lyon
2012
. White Spirit, dans le cadre des Nuits Blanches Paris, Palais de Tokyo, Paris
. Point de suspension … , Tribune Vidéo, ESA Réunion, co-commissariat Patricia Debollivier, Stéphane Pichard, Yohann Quëland de Saint-Pern
2011
. Escalier, diffusion vidéo, L’Accatone, Paris, commissariat Stéphane Pichard
. RUSH, et Espace photographique, diffusions vidéo, FRAC Lorraine
. OMA, Outre-Mer Art contemporain, Fondation Clément, Orangerie du Sénat, Paris, commissariat Tran Arnault
. Enfances, Satellite Brindeau, Le Havre, France
. Import / Export, Xiamen International Contemporary Art Exhibition, Xiamen – Chine, commissariat Huang Ming-Fen,
. Fabula graphica, Rouen, commissariat Stéphane Carayrou,
. La Réunion, terre offshore, Romain Rolland gallery, Alliance Française, New Delhi, Apparao gallery, Chenai, Sakshy gallery, Mumbai – Inde, commissariat Francine Méoule
. Accrochages en point d’incidence, galerie Béatrice Binoche, La Réunion
2009
. Augmentation, installation, Nuit d’art de Pleine Lune – La Réunion, commissariat Céline Bonniol
. Ombre, Plaines des sables, installation vidéo pour la Biennale Arts actuels, Le Port – La Réunion
. Chemin faisant, Artothèque, Saint-Denis – La Réunion, commissariat Laëtitia Espanol
. Latitude 09, École Régionale des Beaux-Arts de Besançon et Hôtel de ville de Paris, commissariat Régine Cuzin
. Traits complices, galerie Béatrice Binoche – La Réunion, commissariat Revue Rouge Gorge
. Ville Hors Champs, vidéo art, Musée des Beaux-Arts de Rouen
2008
. Trait contemporain, galerie Béatrice Binoche – La Réunion, commissariat Revue Rouge Gorge
2007
. Vitrine vidéo, Les Rendez-vous numériques, Rueil-Malmaison
. Exposition de jeunes artistes chinois et français d’art vidéo et nouveaux medias, Chinese European Art Center, Xiamen – Chine
. Projet 0, La Générale, Paris
. Arrangements ou Dérangements?, Conservatoire national de région, Rouen
2006
. Pulsar Caracas, Musée Alejandro Otero-Mao, Caracas – Venezuela
. Trans’Expo de la Sicile à Rouen, Rouen, commissariat Dominique De Beir
2004
. Les rencontres internationales Paris/Berlin, La Villette, Paris
Festivals, foires, biennales
2019
. La 12ème édition des Rencontres de Bamako – Biennale africaine de la photographie – sous la direction artistique de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, co-commissaires Aziza Harmel, Astrid Sokona Lepoultier et Kwasi Ohene-Ayeh.
2018
. 4éme Biennale Internationale de Casablanca, Maroc, commissariat Christine Eyene
2017
. FIAC Hors les murs, La Colonie, Paris, commissariat Kader Attia et Pascale Obolo
2014
. La route des Apaches, Biennale de Belleville, Pavillon carré de Baudouin, Paris
Aides, prix, résidences
2018
. Résidence à la Cité Internationale des Arts de Paris, bourse de la DAC de La Réunion
. Résidence à Ifitry dans le cadre de la Biennale Internationale de Casablanca – Maroc avec le soutien du FRAC Réunion.
2016
. Résidence à La Cité des Arts de Sain-Denis – La Réunion
2015
. Résidence à la WITS School of art, Johannesburg – Afrique du Sud
2014
. Résidence The Window41, Paris
. Bourse d’aide à la création DAC de La Réunion, projet curatorial et musical Album d’Artistes
2013
. Résidence à la WITS School of art, Johannesburg – Afrique du Sud, Association Courants d’art
2012
. Résidence Scénographie Urbaine, Sénégal, Association Courants d’art
2011
. Résidence de création à Nihao Art Gallery, Xiamen – Chine
2010
. Résidence de création à la Cité Internationale des Arts, bourse de la ville de Paris
2009
. Résidence de création à la Cité Internationale des Arts, bourse de la ville de Paris
2008
. Synapse, résidence de post-production, Rueil-Malmaison
2004
. Bourse d’aide à la création, DAC de La Réunion
Commissariats
2019
. Papier Peint, La Box, Le Tampon – La Réunion
. Vent(s) d’est, Vent(s) du sud, La Box, Le Tampon – La Réunion
2016
. Février 2016, La Box, Le Tampon – La Réunion
. À nous de définir la formule, La Box, Le Tampon – La Réunion
2015
. BESTIAIRE[S], La Box, Le Tampon – La Réunion
. Image[s] fragile[s] , La Box, Le Tampon – La Réunion
. Moment[s] Monument[s], La Box, Le Tampon – La Réunion
. Dada-Data, avec Raimi Gbadamosi, galerie de l’ESA Réunion
Conférences
2019
. Quand les institutions deviennent formes…, La Box, Le Tampon – La Réunion, commissariat Yohann Quëland de Saint-Pern
. À propos de nous, La Box, Le Tampon – La Réunion, commissariat Yohann Quëland de Saint-Pern
. Re-QUEER de Brandon Gercara, Nuit européenne des chercheur.e.s, Université de La Réunion
2018
. Atelier V, Cité International des Arts de Paris et Espace Kiasma, organisé par Françoise Vergès dans le cadre de Chair Global South Studies
. Orchestre vide, Nuit européenne des chercheur.e.s Université de La Réunion
2017
. À partir de quand faisons-nous partie du Monde?, séminaire co-organisé par le FRAC Réunion, la Cité des Arts de La Réunion et l’ESA Réunion
. Atelier VI, Cité International des Arts de Paris et La Colonie, organisé par Françoise Vergès dans le cadre de Chair Global South Studies
2016
. Images et Savoir, laboratoire A.P.I. (art, paysage, insularité) , ESA Réunion & Université de La Réunion.
2015
. Zanimo, LERKA, ancien Hôtel de la ville de Saint-Denis – La Réunion
. L’image et son dehors, laboratoire A.P.I. (art, paysage, insularité), ESA Réunion
. Construction Site /Chantier, Université de Pretoria, Afrique du Sud
2014
. FUNDBÜRO, Lux Scène nationale de Valence, ESAD Grenoble/Valence
Acquisitions
FRAC Réunion (2012)
Collection de la Ville de Saint-Pierre (2010) Artothèque de La Réunion (2009)
Catalogues collectifs
2018
. Album d’artistes #2, Région Haute Normandie
2017
. Image et son dehors, Presses universitaires de Rennes
2015
. Album d’artistes #1, Cité des Art & FRAC Réunion
. Où poser la tête?, sous la direction et textes de Julie Crenn, édition FRAC Réunion
2014
. Le souffle, édition Papier Machine #1, Bruxelles
2013
. FUNDBÜRO DatAData, Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Lyon & Wits School of Arts, Johannesburg
2012
. tribune video #1, Association ANKRAJ OI, sous la direction de Patricia de Bollivier, Stéphane Pichard et Yohann Quëland de Saint-Pern
2011
. OMA, sous la direction de la Fondation Clément, Beaux-Arts éditions
2009
. Rouge Gorge, sous la direction d’Antonio Gallego et José Maria Gonzales, édition Rouge Gorge Paris
. Chemin faisant, sous la direction de Laeticia Espanol, textes de Stéphane Carrayrou, Mathilde Savoye et Yves-Michel Bernard
. Latitudes 09, Hôtel de ville de Paris, sous la direction de Régine Cuzin
2008
. Rouge Gorge, sous la direction d’Antonio Gallego et José Maria Gonzales , édition Rouge Gorge Paris.
2005
. Cartes blanches au désert, sous la direction de l’École régionale des Beaux-Arts de Rouen
Articles de presse, de revues
2014
. Mondes du cinéma, n°5 2012
. Mondes du Cinéma, n° 1 & 2
2011-2012
. Patrimoines des Outre-Mer, Culture et recherche n°126, hiver 2011, page 2
2011
. Revue Culture et recherche, Ministère de la culture.
Films vidéo, multimédia, sites internet
. Orchestre Vide, sous la direction de Myriam Omar Awadi et Yohann Quëland de Saint-Pern, édition numérique
. Album d’artiste #2, sous la direction de Yohann Quëland de Saint-Pern et Jean-François Riffaud
. Album d’artiste #1, sous la direction de Yohann Quëland de Saint-Pern et Jean-François Riffaud
. tribune vidéo, édition DVD, sous la direction de l’association ANKRAJ OI, textes de Patricia de Bollivier, direction artistique Patricia de Bollivier, Stéphane Pichard et Yohann Quëland de Saint Pern
Coordonnées atelier
La Box, 60 rue Auguste Lacaussade 97430 Le Tampon, île de La Réunion.
Écoles, formations
1999-2001 : Diplôme national d’art plastique (D.N.A.P)
2001-2004 : Diplôme national supérieur d’expression plastique (D.N.S.E.P. avec les félicitations du Jury) 2004-2005 : Certificat professionnel d’assistant de réalisation avec les Félicitations du Jury
Participation à des collectifs, associations
Trésorier adjoint de l’Association Carambole Membre et co-fondateur de La Box
Co-fondateur des Laboratoires de Base et Paroles, Paroles
Co-fondateur du T.R.O.O.C. Co-fondateur de Tribune Vidéo Co-fondateur d’ANKRAJ OI
Directeur de l’Association Traverse974
Autres activités professionnelles
Commissaire indépendant Réalisateur indépendant
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Une documentation éditée dans le cadre de la préfiguration de documents d’artistes La Réunion, portée par Cheminement(s) avec le soutien de la Région Réunion.
Textes © Leïla Quillacq Iconographie : Valérie Abella
En l’absence de mention contraire, photographies © Yohann Quëland de Saint-Pern Tous droits réservés © documents d’artistes La Réunion 2020 ddareunion@gmail.com
documents d’artistes La Réunion est accompagné
dans son développement par le Réseau documents d’artistes.
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Remerciements
Marie Birot Julie Crenn Laëtitia Espanol
Pierre-Louis Rivière Réseau documents d’artistes
